35 000 morses échoués sur une plage d'Alaska, faute de banquise. L'image interpelle. Fonte des glaces, inondations, canicules, sécheresse, extinction des espèces, rendements agricoles en baisse, pénurie d'eau potable... Le réchauffement climatique est à l'œuvre et sa vitesse est inédite.
Le réchauffement climatique : une évaluation critique
En attendant la conférence de l'ONU sur le climat, qui se déroulera en décembre 2015 à Paris et qui devrait aboutir sur un accord global, le Groupe intergouvernemental d’experts sur l’évolution du climat (Giec) vient de réaliser une évaluation complète du changement climatique depuis 2007. Et la conclusion de ce rapport, qui doit servir de base scientifique aux responsables politiques, est sans appel : il reste « peu de temps pour agir ». La biodiversité, la sécurité alimentaire et la santé de l’humanité sont en jeu. Les concentrations de gaz à effet de serre dans l’atmosphère ont atteint les niveaux les plus élevés depuis 800 000 ans.
Mais il est encore possible de rester sous le seuil acceptable des 2 degrés de hausse des températures. À condition d'agir. C'est-à-dire d'économiser l'énergie, d'améliorer l'efficacité énergétique, d'abandonner les sources d’énergie fossile, de recourir massivement aux énergies renouvelables telles que l'éolien, le solaire et le nucléaire, de limiter la déforestation et d'investir des centaines de milliards de dollars.
Un tournant énergétique qui n'impacterait pas la croissance et qui permettrait de réduire de 40 à 70 % les émissions de gaz à effet de serre d'ici 2050 et de 100 % à l'horizon 2100.
Cette nouvelle évaluation globale, la 5e publiée par le Giec - après celles de 1990, 1995, 2001 et 2007 -, résulte d'un immense partage des connaissances (30 000 études analysées, 800 auteurs principaux).
« Nous avons peu de temps avant que la possibilité de rester sous les 2°C ne disparaisse », affirme Rajendra Kumar Pachauri, président du Giec. Il ajoute : « nous avons les moyens de limiter le changement climatique », « les solutions sont nombreuses et permettent un développement économique et humain continu », « tout ce dont nous avons besoin, c’est la volonté de changer ».
Les réactions des personnalités politiques ont été immédiates. En France, Laurent Fabius, ministre des Affaires étrangères et Ségolène Royal, ministre de l’Écologie ont appelé à « une mobilisation universelle et immédiate ». John Kerry, secrétaire d’État américain a déclaré « ceux qui décident d'ignorer ou de contester la science (…), nous mettent tous en danger, ainsi que nos enfants et petits-enfants ». Ban Ki-moon, secrétaire général de l'ONU, s'est élevé contre le mythe selon lequel « agir pour le climat sera coûteux », en ajoutant « ne pas agir coûtera plus, et même beaucoup plus ».
Des ambitions qui dépendent de l'implication du plus grand nombre
Mais comme le rappelle le président du Giec, la réussite dépend de la volonté et de l'implication de tous. Or, le baromètre annuel Énergie-Info réalisé par le médiateur national de l'énergie, nous apprend que seuls 18 % des ménages français savent réellement en quoi consiste la transition énergétique, et que 22 % en ont entendu parler sans bien la comprendre.
Si la protection de l'environnement et la création d'emplois sont les arguments retenus, les bénéfices individuels sont nuancés. 61 % des ménages estiment que la transition leur permettra de réaliser des économies d'énergie. Et 57 % craignent une hausse des prix. Cette crainte est confortée par les hausses successives qui touchent l'énergie : 3,9 % pour les tarifs du gaz en octobre puis 2,31 % en novembre, 2,5 % pour les tarifs de l'électricité depuis le 1er novembre.
L'Union européenne, troisième pollueur de la planète, qui se veut exemplaire, a déjà adopté le Paquet énergie-climat pour 2030. Celui-ci fixe trois objectifs : réduire d'au moins 40 % des émissions de gaz à effet de serre (par rapport aux niveaux de 1990), élever à 27 % la part des énergies renouvelables dans le mix énergétique, réduire de 27 % la consommation d'énergie.
Ces ambitions sont réalistes. En effet, les émissions de CO2 de l'UE ont déjà chuté de 18 % par rapport à 1990, pour un objectif fixé à 20 % en 2020. Ce qui la place en tête de l'effort international réalisé pour le changement climatique.
Comment faire pour que chacun de nous puisse être actif dans cette lutte ?
L’Homme est confronté à un défi paradoxal : chacun doit changer son comportement pour éviter les conséquences du changement climatique, mais, les chiffres ci-dessus le montrent, comme notre impact individuel est faible, faire un sacrifice personnel sans en ressentir les effets positifs nous empêche de passer à l’acte.
Pourtant, si nous ne résolvons pas ce défi, l’humanité risque grand. Notre futur sera la conséquence de nos actions présentes. Seule une minorité, souvent idéaliste, est prête à faire des sacrifices en acceptant une vie moins confortable, demandant un engagement fort, pour laisser une empreinte moins négative sur notre environnement. C’est une attitude remarquable, mais le problème est que la grande majorité, confrontée à ses soucis quotidiens, n’est pas prête à faire ce choix. Et sans la participation de chacun, rien ne change.
Alors comment faire pour que nous, la majorité, agissions ? Comment peut-on s’intégrer dans cette démarche capitale sans que cela ne devienne une contrainte ? Où est l’entrée simple dans la transition énergétique ?
L’éco-pragmatisme répond au besoin de rendre l’écologie accessible et évidente pour tout le monde. Pourquoi ? Parce qu’aujourd’hui, s’engager représente un effort : cela peut coûter cher, c’est compliqué, et on manque d’informations. Que faire ? Vers qui se tourner ? Comment être sûr que le chemin choisi est réellement avantageux ? On ne sait pas par où commencer ni vers qui se tourner. Le premier réflexe est celui de la méfiance, et de la passivité.
Soloréa veut répondre à ces doutes, à ces questions.
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Nous appelons cela l’éco-pragmatisme. Pragmatique parce que c’est l’avantage personnel qui nous fait agir. Eco parce parce que la conséquence est un impact positif sur l’environnement.
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