J’ai entendu beaucoup de choses à ce sujet. Sans vraiment m’en rendre compte, je m’apprêtais à quitter mon nid et mes amis pour découvrir mon premier boulot. De ce qu’on m’avait raconté, je n’étais pas très enthousiaste et plutôt inquiète à l’idée de commencer cette nouvelle expérience.
Le changement que cela entraîne est important, on se retrouve vite toute seule, sans repères, les journées sont plus longues et on doit s’accrocher pour s’adapter à ce nouveau rythme. En un mot, fini l'insouciance étudiante, il faut maintenant être performante et se montrer digne des nouvelles responsabilités que l’on se voit confier.
C’est dans ces conditions que j’arrivais le 2 octobre 2012 pour ma première journée de travail chez Solorea. Après un petit déjeuner sympa suivi d’une réunion très stimulante et enjouée, mon sentiment avait changé. Beaucoup d’idées, un patron très énergique, tout ça m’a intrigué, j’étais vraiment curieuse de découvrir cet univers et de commencer.
Je dois avouer qu’avant d’arriver à Solorea je ne connaissais rien au solaire. Mais j’en savais suffisamment pour imaginer un jour installer une centrale chez moi afin de produire ma propre énergie. Le flou qui entoure la technologie solaire m’a toujours laissé perplexe. Mais c’est justement parce que Solorea ne produisait pas de panneaux solaires que j’ai décidé de tenter l’aventure avec eux. Mais alors comment relever le défi de la démocratisation de l’énergie solaire sans produire de panneaux me suis-je demandé?
Tout à commencer par les questions de Manuel (mon patron) qui cherchait en permanence à savoir si j’avais bien saisi le concept et la vision de Solorea. Bien entendu, j’avais appris ma leçon et je répétais toutes les informations trouvées sur internet sur la production solaire et plus particulièrement sur l’entreprise.
Mais c’est lors d’une soirée, que j’ai vraiment réalisé ce pour quoi je me levais tous les matins. Une connaissance en apprenant le sujet de mon stage se mit à vouloir me démontrer combien cette activité n’avait aucun avenir. Il a énuméré tous les motifs pour lesquels les français ne croient plus au solaire. C’est en l’écoutant que je me suis rendu compte que Solorea apportait une réponse à tous ses arguments négatifs.
Mon domaine est l’informatique, et je réalise un logiciel pour simplifier la gestion d’un projet solaire réalisé par Solorea. Ce travail je ne l’accomplis pas simplement pour satisfaire les attentes de mes collègues mais surtout parce que je crois en la vision de Solorea et que je suis fier de pouvoir apporter ma propre pierre à l’édifice.
C’est ainsi qu’a commencé ma première histoire professionnelle: je suis fier de ce que je fais et crois que Solorea est LA solution pour que l’on retrouve confiance en l’énergie solaire.
Becky
